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Cela fait un petit moment que j'ai envie d'un rendez-vous hebdomadaire. Mais je cherchais quelque chose d'innovant, de simple et de sympa.
J’ai découvert hier ce rendez-vous initié par Sophie.
L’idée est simple. Tous les mardis, vous ouvrez le livre que vous êtes en train de lire à la page 31 et vous choisissez une phrase. Elle peut être révélatrice du roman, vous plaire par son style, vous déplaire…
Vous êtes libre !
Le but : se faire plaisir dans un court billet et parler rapidement de sa lecture du moment ?
Pourquoi la page 31 ?
Parce que c’est au début mais pas trop tôt non plus. Et parce que Sophie est née un 31 !
Alors j'inaugure avec une phrase extraite de "Une douce flamme" de Philip Kerr.
Quand à 1939, le moment avait compté dans la vie de tout le monde ; surtout si vous aviez la malchance d'être polonais, français, britannique ou même allemand.
Retrouvez ce RDV chez Astrid , chez Lystig et chez Philippe aussi.
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Les Hunger Games ont commencé. Le vainqueur deviendra riche et célèbre. Les autres mourront...
Dans un futur sombre, sur les ruines des Etats-Unis, un jeu télévisé est crée pour contrôler le peuple par la terreur. Douze garçons et douze filles tirés au sort participent à cette sinistre téléréalité, que tout le monde est forcé de regarder en direct. Une seule règle dans l'arène : survivre, à tout prix.
Quand sa petite sœur est appelée pour participer aux Hunger Games, Katniss n'hésite pas une seconde. Elle prend sa place, consciente du danger. A seize ans, Katniss a déjà été confrontée plusieurs fois à la mort. Chez elle, survivre est comme une seconde nature...
Mon avis :
J’avais beaucoup entendu parler de ce livre sur les blogs. J’avais lu des critiques dithyrambiques. Pourtant ce roman ne m’a jamais attirée. Quand mon fils m’a emmené le voir au cinéma, je me suis dit que c’était l’occasion de découvrir cette petite merveille. Quelle déception !
L’héroïne tant encensée sur les blogs m’est apparue arrogante et peu affable. La première partie du film est d’une lenteur abominable – d’accord tout se met en place, mais on pouvait faire plus court et plus clair – et la deuxième assez violente. Je m’en suis voulu d’avoir accepté que mon fils de douze ans voit ce film. Il a cependant aimé, lui. Au point de se plonger dans le tome 2 du récit, alors qu’il n’avait pas lu le premier.
J’ai aimé, par contre, qu’on se rende compte de ce qui se passe hors de l’arène, de la manipulation et de la bassesse des producteurs de ce jeu. On visualise clairement le côté tout-puissant et injuste de la téléréalité en général, des Hunger Games ici.
Pour ne pas rester sur cette désillusion, j’ai emprunté le premier livre. Hélas, cela ne m’a pas réconciliée avec cette histoire.
Le roman diffère du film dans le sens où ce sont les pensées de Katniss qui sont relatées et il y a donc moins d’actions, de mouvements que dans le film. J’espérais plus de rythme, c’est raté. Mais de ce fait, l’héroïne prend une consistance qu’elle n’a pas du tout dans le film. Le monologue intérieur de Katniss qui nous est présenté la rend plus complexe dans le récit, hésitant sans cesse entre peur, courage et abnégation.
Plutôt qu’un récit à la 1e personne, j’aurais aimé avoir une alternance de points de vue ; découvrir le jeu de l’extérieur comme dans le film ; comprendre qui tirait les ficelles et pourquoi. J’espérais aussi mieux comprendre le monde dystopique dans lequel les personnages évoluent mais il n’est pas très développé. J’ai cherché les raisons de la révolte des douze districts ou une description des autorités du Capitole, par exemple.
Un petit plus, le personnage de Peeta que j’ai trouvé un peu fade dans le film m’est apparu différent dans le roman. Son humour m’a fait sourire quelques fois.
L’écriture du roman est assez simple (pour ne pas dire simpliste) et surtout visuelle. Mais il est quasi impossible de se faire une représentation mentale personnelle après avoir vu le film. C’est sans doute dommage car tout n’est pas filmé exactement comme c’est écrit. Les fautes de grammaire sont légion, quant à l'utilisation du présent, je n'y accrocherai sans doute jamais.
Si l’idée de départ est bonne, elle m’a semblé manquer de souffle. L’auteur ne va pas au fond des choses, des sentiments, des relations de cause à effet. De plus, je n’ai pas apprécié (mon côté maternel sans doute) qu’un récit pour la jeunesse utilise des enfants à peine pubères pour des combats à mort. Cela permet sans doute aux ados de s’identifier aux héros mais je ne trouve pas cela très sain. Le désespoir qui sous-tend le récit de bout en bout est déjà déstabilisant, la violence enfantine qui s’y ajoute, lui apporte une note d’inhumanité superfétatoire.
De plus un paradoxe dérangeant m’a sauté aux yeux au fil de cette lecture : l’auteur dénonce la manipulation de masse par l’image et son récit devient lui-même un spectacle qui participe à ce qu’elle dénonce. Il fait de nous des voyeurs, tout comme les habitants des Districts, contraints eux, de regarder, et cela me gêne beaucoup.
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On m'a menti durant quinze ans. La politesse, la grammaire, le piano, l'anglais, l'espagnol seconde langue, l'histoire, la physique et le bac tout au bout pour se préparer un avenir... Foutaises ! La seule chose qu'on devrait enseigner à l'école, c'est que la vie peut basculer en un clin d'œil. Dans mon cas, ça n'a pas pris plus de trois jours...
Mon avis :
Un court récit tout simple et pourtant…
Soixante-six pages qui maintiennent la tension à son comble tout au long du déroulement du récit. Nicolas est-il en train de rêver ou sa vie part-elle vraiment en lambeaux ? Se fait-il un film ou est-ce vraiment la réalité ? Va-t-il se réveiller de ce cauchemar ?
Outre l’intrigue haletante, l’intérêt du livre repose sur la relation parents-adolescent. Sur cette période où chacun voit ses parents comme ils sont vraiment et non comme il les a vus étant enfant. Peut-on être à la fois des parents formidables et des adultes détestables ? Peut-on prôner des valeurs qu’on ne respecte pas soi-même ? Comment accepter que ses parents ne soient pas des êtres idéaux et continuer à les aimer pour ce qu’ils sont ?...
Autant de questions qui émaillent ce récit et en font tout l’intérêt.
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La sirène retentit. Les moteurs des Canadair rugissent sur le tarmac de Marignane. Le premier grand incendie de la saison ravage des dizaines d’hectares de garrigue et de forêt. Au cœur du brasier, un cadavre calciné est découvert dans la carcasse fumante d’un 4x4. D’autres suivront, qui mèneront deux frères, Guillaume et Damien, l’un flic, l’autre gendarme, sur les traces de Tiffany, une jeune photographe de renom obsédée par le feu. Qu’y cherche-t-elle ? La mort, la rédemption ou les réponses aux questions qui la hantent depuis l’adolescence et le drame qui a brisé sa vie ?
Pyromanie ? Règlement de comptes ? Crimes crapuleux ou passionnels ? L’enquête piétine mais la mort poursuit son chemin, façonnant le destin de ceux qui la défient.
Mon avis :
Ce livre m’a été présenté par l’auteur lui-même. Avant cette lecture, je ne connaissais Mikaël Ollivier que pour ses romans jeunesse.
Publié en 2009 pour les 30 ans de la collection Spécial-Suspense d’Albin Michel, ce roman est le premier policier pour adultes que rédige l’auteur. Mais on ne peut pas parler de roman d’enquête au sens strict tant la psychologie des personnages est fouillée et l’atmosphère minutieusement décrite. L’enquête existe mais n’est pas le point central du récit.
Les enquêteurs sont deux frères, un policier et un gendarme, unissant leurs forces pour résoudre une enquête qui piétine : des incendies en apparence accidentels ayant entrainés la mort de victimes qui ne semblent pas se connaître. Passionnée de romans policiers, leur mère de 72 ans se prendra au jeu et cherchera, elle aussi, à dénouer les fils de l’intrigue.
L’histoire - et l’enquête- progresse à travers le récit de la vie des divers personnages. Certains ont cohabité dans la même région dans l’enfance, d’autres se sont croisés sans le savoir et peu à peu le tableau prend forme, les images du passé s’impriment, dévoilant des détails passés inaperçus, des moments rares ou intenses, des souvenirs qui vont tisser le décor des faits présents.
L’auteur nous amène avec habileté à nous interroger sur les absences de Tiffany, sur ses sensations d’être épiée. On partage les états d’âme et les doutes de chacun, entrant en empathie avec les uns, en sympathie avec les autres.
J’ai aimé la relation complice et vraie entre les frères (thème qu’affectionne l’auteur), la description des liens familiaux dans lesquels on ne peut que se reconnaitre en tout ou partie et aussi l’originale plongée dans le milieu des pompiers et des pilotes de Canadair, dans le sud de la France.
Polar, étude sociologique, instantané de la vie en France, ce roman est un peu tout ça. Un bon récit, divertissant et intelligent.
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Peu tentée par la trilogie de Suzanne Collins, j’ai cependant accepté d’accompagner mon fils au cinéma pour découvrir l’adaptation cinématographique de la première partie de ce roman dystopique.
Qu’en dire ?
Tout d’abord, ce n’était pas une bonne idée d’aller voir ce film un jour gris, dans une salle bondée d’adolescents grignotant popcorn et autres sa*****ies croquantes. Cela a déjà le don de gâcher mon plaisir.
Ensuite, je déteste cette manie qui consiste à couper les films « pour enfants » par une pause de quinze minutes, histoire que ceux qui ne sont pas encore repus ou qui ont maintenant un petit creux puissent faire provision en tout genre.
Je ne vais pas vous résumer l’histoire, je suis sans doute la seule à ne pas l’avoir lue. Non ? Alors sachez que Katniss est une jeune ado de 16 ans, pauvre et orpheline de père, qui vit dans le 12e district spécialisé dans l’extraction du charbon. Les douze districts se sont jadis soulevés contre le pouvoir en place et depuis 74 ans vivent sous le joug de la seule ville riche, le Capitole. C’est aussi là que s’est installé le gouvernement.
Pour commémorer ce soulèvement maté, le Capitole organise chaque année un tournoi entre les douze nations. Chaque district est obligé d’envoyer deux de ses jeunes, tirés au sort, combattre à mort les jeunes des autres quartiers. Un seul gagnant remportera ce combat télévisé sanglant.
Transposé à l’écran par Gary Ross, le film décrit un monde asservi par la peur, le manque et la faim dans une Amérique du futur vaincue par ses propres excès : pénurie de ressources, guerres sans fin, réchauffement climatique… Ces jeux télévises sont un bon moyen d’entretenir la peur et forcément l’obéissance des populations sous le joug du Capitole.
Comme le dit le président (Donald Sutherland) « la seule chose plus puissante que la peur, c’est l’espoir (la survie ici). Sinon, ce serait plus simple de les exécuter. »
On aura compris que le propos est lourd, pessimiste et cruel. Et je regrette d’avoir cédé à la demande de mon fils, ayant trouvé ce film trop violent pour un enfant de douze ans.
Inspiré du mythe de Thésée, cette histoire a attiré des millions de jeunes vers les romans de Suzanne Collins. Sans doute parce que les jeunes se reconnaissent dans ces héros adolescents en lutte contre le monde qui les entoure.
Personnellement, je n’ai pas goûté cette histoire. La première partie du film est extrêmement lente. Les décors, personnages et histoire se mettent en place d’une manière peu rythmée qui n’apporte cependant pas beaucoup de clarté sur la situation, pour ceux qui n’ont pas lu le livre. Il faut un certain temps pour comprendre où on est, pourquoi les habitants sont sales, pauvres, habillés comme au temps de la petite maison dans la prairie et éteints…
Le rythme s’accélère un peu avec la Moisson et le départ des deux héros vers le Capitole. Les couleurs explosent nous sortant violemment du gris, les costumes et coiffures deviennent extravagants, pour ne pas dire ridicules, et le monde dystopique prend forme peu à peu.
Je n’ai pas réussi à rentrer dans l’histoire et à me sentir en empathie avec les personnages. J’ai eu l’impression d’assister à un spectacle aux jeux du cirque, sanglant et barbare. La jeunesse des protagonistes dans ces combats cruels m’a choquée. Ajouter l’inhumain au désespoir n’était pas, à mon sens, obligatoire.
Derrière le manichéisme inévitable de ce genre de récit, il y a cependant une tentative de réflexion sur l’ambiguïté de ce genre de spectacle. En cela, le film est assez convaincant. De même que les effets spéciaux réalisés en coulisses pour l’émission.
Si le personnage de Katniss n’a pas su m’émouvoir, je reconnais que Jennifer Lawrence est assez juste dans ce rôle - même si je l’avais trouvée bien meilleure dans Winter’s Bone.
En bref, je pense que cette histoire n’est pas pour moi. Question d’âge sans doute. Mon fils, lui, a apprécié et s’est plongé dans le tome 2 de ce récit.
Billet sur le livre ici
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Comme vous, j’ai souvent lu des romans en me disant que je les verrais bien portés à l’écran. Cela est souvent arrivé, notamment avec « De l’eau pour les éléphants » ou « La couleur des sentiments » pour parler des derniers.
J’ai donc été interpellée par le challenge que Will propose pour la deuxième année consécutive. Mais cette fois, pas de catégorie ou de liste, juste le plaisir.
Le but du challenge est de lire des romans, des nouvelles, des pièces de théâtre, des bandes dessinées qui ont été adaptés au cinéma.
J’ai déjà quelques idées en tête. Cela ne devrait pas être trop difficile de remplir mes engagements.
Je me suis donc inscrite et vous donnerai des nouvelles dans les prochains jours.
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La traversée du continent
http://argali.eklablog.fr/mes-lectures-c382818/22#!/la-traversee-du-continent-michel-tremblay-a1932619Tout là-bas
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Quelques adieux
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Les filles de Caleb
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Parapluies
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Magasin général 1 et 2
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Magasin général 3-4-5
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Magasin général 6 et 7
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Les temps rompus
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Paul à Québec
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Le bonheur est assis sur un banc et il attend
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La petite et le vieux
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La mauvaise fille
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Il pleuvait des oiseaux
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Mon vieux et moi
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Tchipayuk ou le chemin du loup
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RU
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La célibataire
Magasin général tome 8
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Espaces
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Qui de nous deux ?
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Le syndrôme de la vis
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Le cri
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C’est quand le bonheur
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Le cœur découvert
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Un bonheur si fragile, Les épreuves
http://argali.eklablog.fr/un-bonheur-si-fragile-les-epreuves-michel-david-a119099598Magasin général tome 8
http://argali.eklablog.fr/magasin-general-notre-dame-des-lacs-loisel-tripp-a119834722Traité des peaux
http://argali.eklablog.fr/traite-des-peaux-catherine-harton-a125048062Nirliit
http://argali.eklablog.fr/nirliit-juliana-leveille-trudel-a125280426Une mouche en novembre
http://argali.eklablog.fr/une-mouche-en-novembre-louis-gagne-a125513484Les sanguines
http://argali.eklablog.fr/les-sanguines-elsa-pepin-a125729974Tout ce qu'on ne te dira pas Mongo
http://argali.eklablog.fr/tout-ce-qu-on-ne-te-dira-pas-mongo-dany-laferriere-a126517788
Nord Alice
http://argali.eklablog.fr/nord-alice-marc-seguin-a126615072
Paul à la campagne
http://argali.eklablog.fr/paul-a-la-campagne-michel-rabagliati-a126971340
Je suis là
http://argali.eklablog.fr/je-suis-la-christine-eddie-a127335726La chronique exotique. Une enquête à quatre mitaines.
http://argali.eklablog.fr/la-chronique-exotique-une-enquete-a-quatre-mitaines-laurent-corbec-a127254624
Paul dans le Nordhttp://argali.eklablog.fr/paul-dans-le-nord-michel-rabagliati-a127295968
Deux jours de vertige
http://argali.eklablog.fr/deux-jours-de-vertige-eveline-mailhot-a127382486
Le nid de pierres
http://argali.eklablog.fr/le-nid-de-pierres-tristan-malavoy-a127437664
Madame Victoria
http://argali.eklablog.fr/madame-victoria-catherine-leroux-a127477998L'Orphéon, Quinze minutes
http://argali.eklablog.fr/l-orpheon-quinze-minutes-patrick-senecal-a127600354
Le sourire de Létizia
http://argali.eklablog.fr/le-sourire-de-leticia-manu-militari-a127730022Le bleu des rives
http://argali.eklablog.fr/le-bleu-des-rives-marie-claude-lapalme-a128017246Le jardin d'Amsterdam
http://argali.eklablog.fr/le-jardin-d-amsterdam-linda-amyot-a128263756Crachin
http://argali.eklablog.fr/crachin-eloise-simoncelli-bourque-a128788600
Vi
http://argali.eklablog.fr/vi-kim-thuy-a128958290
Terminus
http://argali.eklablog.fr/terminus-nathalie-lagace-a128990728Un thé dans la toundra
http://argali.eklablog.fr/un-the-dans-la-toundra-nipishapui-nete-mushuat-josephine-bacon-a130033768Cher Emile
http://argali.eklablog.fr/cher-emile-eric-simard-a132415924Là où la mer commence
http://argali.eklablog.fr/la-ou-la-mer-commence-dominique-demers-a132498736
L'ordre du Méchoui
http://argali.eklablog.fr/l-ordre-du-mechoui-lionel-noel-a132513028Voyage léger
http://argali.eklablog.fr/voyage-leger-melissa-verreault-a132588318
Moi aussi j'aime les hommes
http://argali.eklablog.fr/moi-aussi-j-aime-les-hommes-s-boulerice-a-labonte-a132416508L'impureté
http://argali.eklablog.fr/l-impurete-larry-tremblay-a132742194Aphélie
http://argali.eklablog.fr/aphelie-mikella-nicol-a136897780Bleuets et abricots, Natasha Kanape Fontaine
La petite voleuse de perles, Michèle PlomerJanvier tous les jours, Valérie Forgues
Au péril de la mer, Dominique Fortier
Maman veut partir, Jonathan Becotte
Je voudrais qu'on m'efface, Anaïs Barbeau-LavaletteLouis Riel, l'insurgé, Chester Brown
Madonna en trente secondes, Billy Robinson
L'ombre de l'olivier, Yara El-Ghadban
Oyana, Eric PlamondonDe rivières, Vanessa Bell
Omaha Beach un oratorio, Catherine Mavrikakis
Jours d'attente, Desaulniers - Brousseau - Leclerc
Le deuxième mari, Larry Tremblay
L'angoisse du poisson rouge, Melissa Verreault
Paul à la maison, Michel RabagliatiL'apparition du chevreuil, Elise Turcotte
Le dernier mot, Caroline Roy (album graphique)
Le plongeur, Stéphane Larue
J'irai danser (si je veux) Marie-Renée Lavoie
Le lièvre d'Amérique, Mireille Gagné
Nous ne trahirons pas le poème, Rodney St Eloi
Modifié, Sébastien L. Chauzu
La mémoire est une corde de bois d'allumage, Benoit Pinette
Mân, Kim Thuy
Radiale, Valérie ForguesDiane n'est pas sortie du bois, Marie-Renée Lavoie
Passer l'hiver, Kateri Lemmens et Romain Renard
La femme qui fuit, Anaïs Barbeau-LavaletteDe bois debout, Jean-François Caron
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