• Seuls, VEHLMANN & GAZOTTIUne fin de journée comme les autres. Chacun rentre à la maison après une journée de travail ou d’école. Personne ne se doute que cette journée est la dernière. Le lendemain, rien ne sera jamais plus comme avant.

    Que s’est-il passé pendant la nuit à Fortville ? Pourquoi la ville semble-t-elle soudain abandonnée ? Où sont-ils tous partis ? Leila, Terry, Dodji, Camille et Yvan sont-ils les seuls survivants ? D’autres enfants sont-ils encore là, terrés chez eux ? Une chose est sûre : pour survivre dans ce monde hostile, il faudra s’allier et faire preuve de débrouillardise. Parce que maintenant, ils sont seuls !

     

    Mon avis :

     

    Encouragé par un copain, mon fils a voulu découvrir cette bande dessinée. Je lui refuse rarement un livre mais ignorant tout de cette série, j’ai voulu la lire auparavant. La couverture présentant des tâches de sang et un jeune garçon armé d’un gourdin me semblait un peu inquiétante. Je suis contente de l’avoir fait pour deux raisons.

    D’abord, j’ai découvert un scénariste, Fabien Vehlmann, et un dessinateur, Bruno Gazotti, que je ne connaissais pas. Et ils ont du talent.

    Ensuite, j’ai pu appréhender l’album avant mon fils de dix ans et constater que cette lecture doit être accompagnée pour de jeunes lecteurs. En effet, ils s’identifieront facilement aux héros qui ont leur âge mais il convient quand même de signaler que les situations angoissantes et la violence que vivent ces jeunes peuvent en perturber certains.

     

    J’ai été rapidement entraînée dans cette histoire hors du commun, où on ne comprend pas comment cinq enfants, de quartiers et de milieux différents, se retrouvent soudain livrés à eux-mêmes. Pourquoi eux ? Ils ne comprennent pas ce qui leur arrive et le lecteur non plus. On découvre la ville à travers leur regard d’enfants ; tout semble devenu gigantesque et oppressant. Chaque fait mineur fait frémir et la tension monte au fil des pages en raison de la situation hallucinante dans laquelle on se trouve, sans avoir aucune prise sur elle. Psychologiquement, c’est très dur pour ces enfants et ils craquent chacun à leur tour.

    Il leur faudra surmonter des épreuves, se confronter les uns aux autres, s’unir et s’entraider pour survivre dans cet univers dont ils n’ont pas les codes. Tout cela en continuant leur quête vers la clé de l’énigme.

      

    J’ai lu les trois premiers tomes. Chacun aborde un sujet indépendant s’articulant autour du fil rouge. Après la mise en situation, le premier tome confrontera les enfants avec les animaux d’un cirque qui se sont échappés et cherchent à manger. Le deuxième les mettra au prise avec un serial killer et le troisième, avec le gang des requins.

    L’intensité dramatique monte crescendo et on est heureux de souffler un peu grâce à l’humour de certaines situations.

     

    Cette série est bien faite et je n’ai pas boudé mon plaisir en la lisant. Actions, suspens, humour sont bien dosés et font mouche. Le dessin en rondeur est très dynamique et accompagne à merveille le récit. Par contre, les réactions des enfants ne me semblent pas toujours appropriées à leur âge. Mis à part Terry qui n’a que cinq ans et agit comme un enfant apeuré de cinq ans, les autres font montre d’une maturité et d’une débrouillardise particulièrement hors du commun.

    Enfin, la violence psychologique de certaines scènes, notamment dans le tome 3, me font émettre quelques réserves. On sent que l'histoire évolue, les personnages gagnent en densité mais il me semble que les auteurs perdent de vue l'âge du lectorat potentiel. L'allusion au IIIe Reich et le comportement despotique et malsain d'un des personnages m'ont mise très mal à l'aise. Il faut en être conscient avant d’offrir cette bande dessinée à des enfants.

     

     

    (BD Boum) Prix Conseil Général et (Fauve) Prix jeunesse 9-12 ans

      

      

    Seuls, VEHLMANN & GAZOTTI

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  • Romans jeunesseDestination Bruxelles pour Olivia et Jonathan Cavendish ! Le week-end s’annonce bien… jusqu’à l’embarquement, gare du Nord. Tiphaine, leur mère, annule son départ au dernier moment. Elle ne retrouvera ses enfants que pour mieux disparaitre. Que leur cache-t-elle ? Sa vie est-elle en danger ? Agressions, manipulation, filatures… Sous des trombes d’eau, Olivia et Jonathan tenteront de mettre au jour les sombres complots qui menacent la capitale belge.

     

    Mon avis :

     

    Ce roman policier pour les jeunes est assez plaisant. Le rythme est enlevé et les fausses pistes parsèment le récit. Les personnages sont finement observés et les tensions familiales participent à l’humeur des protagonistes et à leurs réactions à fleur de peau. De plus, l’humour est présent au fil des pages.

    Tout en décrivant Bruxelles, ses rues, ses monuments, ses spécialités et son parler inimitable, les auteurs proposent aux jeunes lecteurs une véritable enquête, aux nombreux mystères, les menant au cœur de la politique européenne. Les deux enquêteurs sont jeunes eux aussi et leurs réactions comme leur manière de s’exprimer sont proches de celles de leur génération.

    Cela devrait plaire aux jeunes dès 11 ans.

     

    Pourtant je n’ai été qu’à moitié séduite.

    D’abord, j’ai trouvé assez réducteur de présenter le pays comme vivant sous une pluie incessante. N’exagérons rien, nous ne sommes pas le nord de l’Ecosse ! Pluie et brouillard ne constituent pas, heureusement, l’unique météo du pays.

    Ensuite, les auteurs parsèment leur récit de belgicismes qu’ils traduisent ou expliquent mais tous ne sont pas employés à bon escient. Ainsi l’expression « tire ton plan » est employée à la forme impérative et manifeste un certain agacement de la part de celui qui l’emploie. On ne dit pas « vous ne saurez pas tirer votre plan ».

    De même, s’il est courant en Belgique d’employer « savoir » à la place de « pouvoir » cela ne se fait que dans certaines conditions. Ainsi « savoir » a le sens « d’avoir la possibilité de, être capable de » tandis que « pouvoir » garde le sens de « être autorisé à ». On ne dira pas donc pas s’il s’agit d’une interdiction d’entrer quelque part : « Vous ne savez pas entrer ».

    Enfin, j’ai moyennement apprécié le mélange de narrateurs internes et d’un narrateur omniscient. La plupart des chapitres sont en fait le récit rédigé par les enfants dans leur journal de bord tandis que les autres (8 sur 27) relatent l’action en direct.

     

    L’idée de la série est cependant intéressante : présenter un pays européen à chaque aventure de la famille Cavendish et concourra, je l’espère, à une meilleure connaissance de nos voisins.

     

      

    Un grand merci à Samia des Editions Nathan pour cet envoi et cette découverte !

     

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  • Romans jeunesseJenny a toujours mené une vie de rêve : des parents aimants, plein d’amis, et l’opportunité de faire tout ce qu’elle veut. Afin d’organiser la fête d’anniversaire la plus éblouissante de l’année, elle décide de préparer pour ses invités une aventure dont ils se souviendront. Au nouveau magasin du quartier, l’énigmatique vendeur aux yeux bleus la dirige immédiatement vers « le Jeu », une expérience unique…

    Alors qu’elle construit le plateau avec ses camarades, Jenny comprend, trop tard, les véritables règles de ce jeu. Ils vont devoir franchir une par une les pièces d’une maison maléfique, affrontant au cours de ce voyage infernal leurs pires cauchemars. S’ils n’y parviennent pas avant l’aube, ils resteront emprisonnés dans la maison pour toujours.

     

    Mon avis :

     

    J’ai reçu ce livre des Editions Michel Lafon que je remercie chaleureusement. A lire les avis enthousiastes des internautes et la 4e, je m’attendais à découvrir un roman fantastique au suspens haletant. J’ai déchanté en découvrant un récit de fantasy, assez convenu.

      

    Le thème du jeu maléfique entrainant les joueurs dans des aventures irrationnelles et terrifiantes a déjà été exploité magistralement dans « Jumanji » de Chris Van Allsburg. On a ici une redite.

    Les deux enfants sont remplacés par 7 adolescents et l’aventure dans la jungle par une plongée dans les cauchemars et phobies de chacun mais la trame est la même. Impossible d’interrompre le jeu : il faut jouer et gagner ou rester prisonnier du jeu. Ici, cela se corse un tout petit peu : Jenny, l’héroïne est en fait la réincarnation de Perséphone et le maître des Ombres qui la pourchasse n’est autre qu’Hadès toujours aussi follement amoureux. Jenny doit donc choisir entre le monde des ténèbres et l’amour d’Hadès ou celui de la lumière et l’amour des siens.

      

    Je n’ai pas du tout été séduite. J’ai terminé le premier tome mais je n’irai pas au-delà des 220 premières pages. Non seulement, ce n’est pas le genre de livre que j’apprécie mais je n’ai pas aimé l’écriture. J’ignore si cela vient de la traduction mais le vocabulaire est vraiment d’un niveau basique et les descriptions d’une platitude sans nom. Même au cœur des pires phobies des protagonistes, on ne ressent aucune émotion, aucun stress ou danger quelconque. On lit juste la description de leurs cauchemars.

    Le texte en italique, supposé reprendre les pensées intimes de Jenny, n’est pas plus palpitant.

      

    Bref, une grande déception pour ce premier partenariat et une confirmation : je ne suis pas faite pour la fantasy, la bit-lit ou ce genre de littérature. J’ai sans doute passé l’âge !

     

     

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  • FilmsPierrot, 10 ans, est passionné d’astronomie. Pour son anniversaire, son père lui offre le cadeau qu’il attend depuis toujours : des lunettes astronomiques.

    Aussitôt, il se met à observer le ciel. Tout à coup, il aperçoit une étoile filante. Ce phénomène permet de réaliser un vœu, paraît-il, mais Pierrot n’y croit pas. Peut-être a-t-il tort…

    En observant bien le ciel, il y découvre une étoile qu’il ne connait pas, lui pour qui la galaxie n’a aucun secret. Il trouve cette étoile bien étrange avec ses sept branches. Il ne le sait pas encore mais ses observations vont le conduire dans une aventure dont il éprouvera bien des difficultés à sortir…

     

    Mon avis :

     

    Ce roman pour enfant, publié aux Editions Chloé des Lys, est écrit par un blog’ami. Instituteur, il connait bien le monde des enfants et sait donc ce qui leur plaît et comment les intéresser.

    J’ai reçu ce livre hier et je l’ai ouvert par curiosité. Une heure plus tard, je le déposais, essuyant une larme au passage. Je n’avais pas pu arrêter ma lecture.

     

    L’histoire est spirituelle, drôle et empreinte d’émotions vraies. Elle met en scène Pierrot, sa famille et sa classe. Dans son école, comme partout, il y a des adultes sympathiques, à l’écoute, d’autres qui sont sévères voire froids et distants et bien sûr, on découvre une belle bande de chenapans prêts à toutes les bêtises pour s’amuser. Que celui qui n’y reconnait personne ou ne retrouve aucun souvenir, lève la main !

     

    J’ai aimé ce conte, la magie qui vient bousculer le quotidien et les réflexions qu’elle permet aux enfants. Si j’avais le pouvoir de réaliser un vœu, lequel choisirais-je ? Et si je pouvais en faire plusieurs ? Tout ce qui nous semble drôle, l’est-il vraiment ? Quelle est notre part de responsabilité dans ce qui nous apparait simplement comme un jeu ? Pense-t-on suffisamment aux conséquences ?... Autant de questions que les enfants seront amenés à se poser (ou non) à la lecture de ce conte. Lecture où ils trouveront, j’en suis sûre, beaucoup de plaisir.

     

    Je le recommande chaleureusement à tous ceux qui ont gardé une âme d’enfant.

      

      

     

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  • Films

    Lors du traditionnel spectacle de sa petite ville, Kyle se soumet, avec son amie Lilly, Mme O’Donnel et Mr Peterson, à une séance d’hypnose présentée par Danny. Après avoir sombré dans un état de paix profonde le réveil est brutal : le public est pétrifié et le phénomène a gagné toute la ville. Il n’y a plus ni téléphone, ni radio, ni internet… Puis, étrangement, les habitants se remettent en mouvement comme si rien ne s’était passé… Pourtant, tout a changé. Tout, sauf eux 4 ! Ils sont maintenant des 0.4.

     

    Mon avis :

     

    Tout d’abord, un grand merci aux Editions Nathan de m’avoir envoyé ce roman. Cela m’a permis de découvrir Mike Lancaster.

     

    Je ne suis pas fan de la science-fiction en général, mais j’avoue avoir été emportée par cette lecture. Dès que l’on plonge dans l’histoire, on n’a qu’une hâte : en connaitre le dénouement. Les 256 pages ont défilés sans que je n’y prenne garde.

    Point de créatures extraterrestres repoussantes, de nouvelles technologies compliquées ou de néologismes rebutants dans ce roman. L’histoire met en présence des adolescents d’aujourd’hui auxquels il arrive une aventure hors du commun. Ces adolescents sont semblables à tous les adolescents : ils connaissent des tensions familiales, découvrent le sentiment amoureux, prennent des responsabilités, vivent un quotidien normal… jusqu’à ce qu’un phénomène inexpliqué vienne ébranler ce en quoi ils croient et remettre en question les valeurs humaines qui sont les leurs.

    Leur histoire enregistrée sur des cassettes audio à l’aide d’un vieux magnétophone a été découverte dans un futur non défini et fait l’étude de nombreuses recherches scientifiques, linguistiques, historiques… afin d’appréhender la vie au début du XXIe siècle. Des extraits sont disséminés tout au long du roman comme autant d’annotations servant à la compréhension des lecteurs du futur. C’est assez drôle et donne à l’auteur l’occasion de faire une critique caustique de notre société.

     

    Le style est rythmé, vif et angoissant. Le récit s’interroge sur l’invasion des nouvelles technologies qui, peut-être, nous contrôlent sans que nous en ayons conscience. Sommes-nous vraiment aussi libres que nous le croyons ? Sommes-nous ceux que nous croyons ?

     

    Un très bon roman de science-fiction, intelligent, à conseiller dès 13 ans.

      

      

     

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  • jeunesseA la mort de son père, Blue se met à écrire sur un carnet pour exprimer son chagrin avec ses mots à lui. Il imagine alors un personnage, celui d’un d’un jeune garçon qui vit dans le bois voisin et r$ode aux alentours. Un être effrayant, qui ne parle pas, le sauvage. Blue s’invente une histoire si vraie qu’elle commence à se confondre avec la réalité.

     

    Mon avis :

     

    Ce roman graphique est un petit bijou d’émotions.

    Alternant passages narratifs et dessins, il nous conte une histoire entre rêve et réalité. Celle d’un petit garçon, Blue, qui cherche à se reconstruire après la mort inopinée de son papa. Pour extérioriser son chagrin, il se met à écrire l’histoire d’un jeune garçon qu’il nomme « le sauvage ». Ce double plus fort et plus violent va progressivement envahir la réalité et intervenir dans son existence…

    Les passages narratifs sont rédigés par Blue qui a grandi et qui jette un regard sur le récit qu’il avait imaginé et illustré quelques années plus tôt. Dès le début, il se dissocie du Sauvage, remettant les choses en place. L’histoire est racontée par un Blue enfant, maîtrisant mal la syntaxe et l’orthographe mais cependant capable de rendre un récit vivant et poignant. Cette histoire l’amènera à faire son deuil et à oser l’aventure d’une vie autre.

      

    Malgré des tons sombres : bleu, vert, noir et un thème triste, ce livre est un hymne à l’espoir, à la vie. Les dessins nerveux et vifs traduisent merveilleusement la violence qui habite Blue malgré son apparence résignée et calme. Ses peurs, ses pulsions font partie de lui et il devra les faire jaillir pour atteindre la sérénité. Les dessins illustrent bien cette dualité et apportent au texte le complément nécessaire pour en faire un roman graphique très abouti.

    Ce roman, à plusieurs niveaux de lecture, rend à merveille la disparité des sentiments qu’un enfant peut éprouver après une perte aussi terrible. Le dessin et l’écriture, véritable catharsis, lui permettront de surmonter cette épreuve.

    L’histoire m’a vraiment touchée et l’émotion qu’elle dégage me restera longtemps en mémoire. Ce livre peut être proposé à des enfants dès douze ans ainsi qu’aux adultes.

      

    C’est une merveilleuse découverte que je dois à Anne qui m’a offert ce livre dans le cadre du swap « Fais-moi plaisir ». Un grand merci à elle.

     

      

     

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  • Romans policiersCombien d'adolescents connaissent Sherlock Holmes, sans avoir jamais lu aucune de ses aventures ? Certes, il suffit de voir sa silhouette pour le nommer et pour aussitôt évoquer les mystères les plus obscurs et les enquêtes les plus fulgurantes. Le succès de ses aventures éclipse même celui de son créateur, le romancier britannique Arthur Conan Doyle. Bref, Sherlock Holmes est un mythe, et il est installé dans la mémoire de millions de lecteurs. Les trois nouvelles réunies dans ce recueil développent des intrigues subtiles dans des milieux parfois inattendus, mettent en scène des personnages ambivalents et combleront, à coup sûr, les attentes des amateurs d'«affaires» ! «Un scandale en Bohême», «Peter le noir» et «L'Homme à la lèvre tordue» permettront aux élèves de découvrir - ou de redécouvrir - un auteur et un personnage fondateurs de la littérature policière. L'appareil pédagogique proposé en fin de volume permettra d'étudier la narration dans un roman à énigme et les types de discours à l'ouvre dans une enquête analytique.

     

    Mon avis :

     

    Ces nouvelles de 400 lignes environ sont de vrais petits bijoux de concision. Pas de longues descriptions, pas d’analyse tarabiscotée, Sherlock Holmes, tout comme son créateur, est direct et ne s’embarrasse pas de discours ennuyeux. Observation, inductions, synthèse ! Il va droit au but.

    Et c’est assez plaisant.

      

    Ces trois nouvelles nous permettent de découvrir peu à peu la personnalité de Sherlock Holmes. Sûr de lui - parfois hautain - passé maître dans l’art du déguisement, misogyne et solitaire car se suffisant à lui-même, porté sur les substances illicites, fin limier ne supportant pas l’oisiveté… il n’a pas son pareil pour régler une affaire en trois coups de cuillère à pot (de thé, il va sans dire).

    C’est par ces trois aventures – parues en feuilleton dans The Strand Magazine – que naissait la légende de Sherlock Holmes et de son fidèle comparse, le docteur Watson. Ce dernier étant le seul autorisé à partager l’intimité du détective et lui servant tour à tour de faire valoir ou d’hagiographe.

     

    Trois nouvelles à lire absolument pour découvrir le personnage de Sherlock Holmes, héros de papier devenu quasiment un personnage historique et dont de nombreux auteurs se sont inspirés.

     

     

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