• Zeus, le roi des dieux, Hélène MONTARDRELe jeune Zeus est tourmenté et ne peut s’empêcher de se poser des questions ; « Qui suis-je ? Qui sont mes parents ? Pourquoi m’ont-ils abandonné ? » Alors qu’il découvre enfin le terrible secret de ses origines, il n’a plus qu’une idée en tête : se venger de son père, le redoutable roi des Titans…

     

    Mon avis :

     

    Ce récit nous conte les origines de Zeus, sa naissance secrète, sa lignée, comment il a pris le pas sur ses frères et sœurs et choisi le mont Olympe comme demeure. Nous découvrons ou redécouvrons les Hécatonchires, ces trois frères dotés de cinquante bras à chaque épaule.

    Lu à sa sortie en 2013, je constate que cet ouvrage a été retravaillé et certains passages améliorés pour plus de clarté. Le style est fluide, l’histoire claire et les personnages suffisamment décrits pour être intéressants sans être trop complexes. Toute la série des petites histoires de la mythologie sont d’ailleurs extraordinaires.

    C’est un réel plaisir de redécouvrir la mythologie sous les mots d’Hélène Montardre. Les grands mythes racontés simplement, de manière brève allant à l’essentiel sont mis à la portée des enfants. Si vous ne les avez jamais lus, je ne peux que vous recommander de le faire au plus tôt.

    Merci aux éditions Nathan pour cet envoi.

     

     

     

     

     

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  • Petits récits mythologiques, Jason et Europe, Hélène MONTARDREJason et la Toison d’or

    Pour récupérer son trône, Jason doit rapporter la Toison d’or au roi Pélias. Mais la parure du bélier merveilleux se trouve en Colchide, une région qu’il ne peut rejoindre sans risquer sa vie. Loin de se laisser impressionner, Jason s’entoure de héros courageux, les Argonautes, et se lance dans un périlleux voyage…

     

     

     

    Petits récits mythologiques, Jason et Europe, Hélène MONTARDREA la recherche d’Europe

    Europe est une jeune fille si jolie que Zeus en tombe amoureux. Transformé en taureau blanc, il l’enlève. Les trois frères d’Europe partent à sa recherche. L’un d’eux, Cadmos, croise sur sa route de nombreux défis et doit se battre contre un monstrueux serpent. Au milieu de tous ces dangers, retrouveront-ils la trace de leur sœur ?


     

    Mon avis :

     

    Hélène Montardre continue à nous proposer des récits issus de la mythologie grecque et rédigés dans une langue simple sans être simpliste. Destiné aux jeunes dès 9 ans, ces récits épiques leur transmettent non seulement le goût de l’aventure mais aussi celui de la lecture. Parus en 2011, ces deux histoires sont des rééditions des éditions Nathan et les légendes qu’ils mettent en évidence sont peut-être moins connues.

    Dans le premier, Jason, qui a échappé à la mort grâce à ses défunts parents, vient réclamer son trône à son oncle l’usurpateur. Pour s’en débarrasser, Pélias lui promet de le lui remettre à condition qu’il ramène pour lui la Toison d’or. Faisant appel à de jeunes Grecs en mal d’aventures, il embarque avec eux sur l’Argo, le bateau construit par Argos. Leur équipage prend comme nom « Les Argonautes » et part pour la Colchide. Un grand périple plein d’imprévus et d’embuches les attend.

    Dans le second, Zeus, aidé d’Hermès, se mêle à un troupeau de vaches et de taureaux qui paissent dans une prairie où des jeunes filles cueillent des fleurs. Il a repéré une de ces jeunes filles, la plus belle. Pour l’approcher, il se transforme en taureau. Séduite par la beauté et la puissance de la bête, elle l’approche et prend même le risque de grimper sur son dos. Le taureau s’approche de la mer et galope alors loin du rivage. Les frères et la mère de la jeune Europe partent alors à sa recherche. Nous suivons les traces de Cadmos, un de ceux-ci.

    Dans les deux cas de courts chapitres rythment le récit. Ces légendes sont sublimées par l’écriture d’Hélène Montardre où chaque mot est choisi avec soin. Elle ne s’embarrasse pas de superflu et chaque mot est réfléchi. La lecture en est facilitée tout en étant plaisante.

    Merci aux éditions Nathan pour cet envoi.

     

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  • Momies et compagnie, Nicolas ANCIONTout juste revenus de Londres, Alex et Maya arrivent à Paris pour passer quelques jours chez leur grand-mère. Dans l’Eurostar, un individu louche attire leur attention. Que signifie ce drôle de hiéroglyphe tatoué dans son cou ? Et pourquoi sa valise a-t-elle la forme d’un sarcophage ? Alex est intrigué mais Maya trouve que son frère est un peu parano…

    Une petite enquête devrait décider de qui a raison.

     

    Mon avis :

     

    « Momies et compagnie » est un roman jeunesse, paru en 2011 et qui vient d’être réédité en poche, par Hachette.

    Alex et Maya s’apprêtent à passer leurs vacances chez leur grand-mère Mado. Hyper active, elle leur a prévu un programme culturel chargé et des repas bios et sains. Mais dans le train, Alex a entendu une étrange conversation. Un Russe à l’allure inquiétante, tatoué dans le cou, évoquait un sarcophage en sa possession. Les deux enfants n’en demandent pas plus pour se lancer dans une enquête à travers Paris. Alex, hyper calé en sciences et polyglotte, et Maya, surdouée en informatique, vont mener cette affaire tambour battant. Sur les traces de ce mystérieux Russe, ils vont mener leurs recherches aux quatre coins de Paris, du Louvre aux catacombes en passant par l’Opéra Garnier, la Bibliothèque nationale ou le métro.

     

    Ce récit destiné aux jeunes dès 10 ans pourra cependant intéresser les lecteurs jusqu’au premier degré du secondaire. En effet, l’histoire est dynamique et entraînante, facile à lire et les informations qu’elle transmet sur l’Egypte des pharaons, les quartiers et les lieux culturels de Paris sont très intéressantes. Grâce au rythme soutenu du récit, le lecteur ne s’ennuie jamais et les nombreux rebondissements maintiennent le suspense jusqu’à la fin. Ajoutez à cela un peu de sorcellerie et de magie noire ainsi qu’un trait d’humour et vous avez la recette idéale d’une agréable lecture.

    Des annotations en marge du récit apportent des explications claires sur des faits historiques ou des lieux géographiques et permettent une parfaite compréhension.

    Enfin, un plan de Paris et les illustrations de Bruno Tatti complètent le tout. Réalisées en noir et blanc, elles contribuent à l’atmosphère mystérieuse et fantastique de l’aventure vécue par les jeunes héros.

     

    J’ai lu ce roman avec beaucoup de plaisir. C’est l’introduction idéale à l’exposition Toutankhamon qui débute le mois prochain à Liège et que j’irai, bien sûr, voir avec mes élèves.

     

     

     

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  • Freestyle, SOPRANOTout est possible quand tu sais qui tu es 

    Passionnés de musique, Saïd et Rachid rêvent de monter un groupe. Mais dans leur cité, comment se créer un futur ?

    Quand leur nouvelle professeure de français leur fait étudier la poésie et leur enseigne le pouvoir des mots, Saïd a une révélation. Il va lui aussi se lancer dans l'écriture, donner du rythme à ses textes et s'inventer un destin : celui de Soprano.

    Pour se faire connaître, il doit d'abord aiguiser ses punchlines et passer par la case "battles" pour se mesurer à des adversaires tous plus redoutables les uns que les autres... Sera-t-il à la hauteur ?

     

    Mon avis :

     

    Avec la rentrée, je recherche des titres jeunesse qui pourraient plaire à mes élèves. J’ai donc été attirée par ce titre du rappeur Soprano, édité par Michel Lafon.

    Soprano n’est pas un novice dans le monde musical. Avant de lancer sa carrière solo en 2006, il était chanteur dans le groupe Psy 4 de la Rime. Ce roman, qui nous raconte l’histoire de Saïd et Rachid, s’inspire, on s’en doute, de son histoire. Saïd est son vrai prénom et Rachid est son ami d’enfance, fondateur du groupe Psy 4 de la Rime.

     

    Ce roman s’adresse à des enfants de 10-12 ans ou des lecteurs débutants, comme mes jeunes primo-arrivant. La police de caractère et les espacements sont également adaptés pour les enfants dyslexiques.

    Alors que le papa de Saïd rêve pour son fils d’un bel avenir et l’encourage à travailler dur à l’école, Saïd n’est pas très bon élève. Il préfère traîner avec ses copains et notamment Sarah dont il est secrètement amoureux bien qu’elle l’ignore. Un jour, sa prof de français lui propose de l’aider à remonter ses notes. Comme elle sait que Saïd participe à des battles de rap, elle va partir de là et l’aider à améliorer son rythme et la puissance de ses textes.

    Cela m’a amusée de découvrir la vie de Soprano, sympathique rappeur apprécié de mes élèves. Ce récit est clairement adapté aux fans du chanteur de 10-12 ans. Il parle d’école, de copains, des premiers émois, de musique… avec la légèreté des jeunes de cet âge.

    On pourrait reprocher un petit côté manichéen à ce récit mais le message aux jeunes est positif et en ces temps difficiles n’est-ce pas l’important ? Et puis, c’est assez rassurant pour un enseignant de se dire que, parfois, notre travail peut changer la vie, comme le chantait Goldman.

    Je garde donc ces récits sympathiques en tête (deux tomes sont parus) pour mes élèves quelque peu en froid avec la lecture.

     

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  • Signé poète X, Elizabeth ACEVEDOHarlem. Xiomara a 16 ans et un corps qui prend plus de place que sa voix. Contre la rumeur, les insultes ou les gestes déplacés, elle laisse parler ses poings.
    Etouffée par les principes de sa mère (pas de petit ami, pas de sorties, pas de vagues…) elle se révolte en silence. Personne n’est là pour entendre sa colère et ses désirs.
    La seule chose qui l’apaise, c’est écrire, écrire et encore écrire. Tout ce qu’elle aimerait dire. Transformer en poèmes-lames toutes ses pensées coupantes.

    Jusqu’au jour où un groupe de slam se crée dans son lycée.

     

    Mon avis :

     

    Ce roman jeunesse des éditions Nathan est une réussite. Ce récit m’a touchée, ses personnages aussi et j’ai passé un bon moment à le lire, sans pouvoir le lâcher.

    Xiomara et Jumeau, son frère, vivent dans une famille d’origine dominicaine en plein Harlem. Très pieuse et peu heureuse dans son couple, Mami, leur mère, les élève strictement dans le respect des règles, des traditions et de la foi. Si elle fait entièrement confiance à son fils, bon élève et jeune homme paisible, le caractère frondeur de sa fille et son corps épanoui d’adolescente, lui font craindre le pire et elle devient soupçonneuse et dure. Impossible de dialoguer. Xiomara étouffe. Elle écrit alors dans son carnet les mots qu’elle voudrait hurler au monde. Son professeur de français lui donnera l’occasion de s’exprimer. Mais la saisira-t-elle ?

    Outre l’histoire assez forte d’une famille où l’amour ne se dit pas, ne se montre pas et passe par des interdits de toutes sortes et des obligations rendant la vie stricte et sans joie ; outre l’adolescence, l’éveil à la féminité et à la sensualité qui va hélas de pair avec le harcèlement que subissent les jeunes filles devenant femmes, l’écriture poétique de l’auteur, joliment imagée est aussi un atout du roman. Tout le récit est rédigé en slams et poèmes. La première surprise passée, on plonge dans les mots de l’auteur avec délice. Les métaphores sont nombreuses, les images fortes, bouleversantes et tellement belles qu’on reste suspendu aux textes de Xia jusqu’à la dernière ligne.

    L’auteure, Elizabeth Acevedo, est diplômée en arts de la scène et création littéraire, elle a les mêmes origines que son personnage… Tout porte à croire qu’elle a mis beaucoup d’elle-même dans ce texte. Et la magie opère.

    Ce roman plaira aux adolescents car il parle d’eux, du passage de l’enfance à l’adolescence, des premiers émois, du pouvoir des mots qui libèrent, d’une passion qui épanouit et donne sens à la vie. Lisez-le !

     

    Je m'en voudrais de ne pas citer la traductrice pour le travail exceptionnel qu'elle a fait : Clémentine Beauvais est chercheuse en sociologie et philosophie de l'enfance à l'université de York.

     

     

     

     

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  • Strong Girls forever, 2, Holly BOURNEElles ont 16 ans, elles sont indépendantes et fières de l’être ! Evie, l’angoissée qui a du mal à faire les premiers pas, Lottie la brune qui n’a pas sa langue dans sa poche…et Amber.
    Amber s’envole vers la Californie pour voir sa mère et aider dans le camp de vacances qu’elle dirige. Une mère névrosée, une fille en colère et plein d’Américains séduisants : la catastrophe annoncée. Pas grave, Amber a l’habitude des situations désespérées.

     

    Mon avis :

     

    Ce roman est le deuxième d’une trilogie qui raconte les aventures de trois amies. Je n’ai pas lu le premier mais je pensais qu’ils pouvaient se lire indépendamment, chacun ayant pour héroïne une des adolescentes : Evie dans le premier tome et Amber dans celui-ci. Avec Lottie, elles forment « le Club des Vieilles filles ». 

     

    Amber, jeune fille complexée et en proie à de multiples questionnements existentiels, quitte l’Angleterre pour ses vacances afin de renouer avec sa mère vivant aux Etats-Unis et qu’elle n’a plus vue depuis deux ans. Sa mère y tient un camp de vacances et elle l’y aidera tout en restant en contact avec ses amies par skype ou mails. Si Amber a été tenue éloignée de sa mère c’est en raison de son alcoolisme ; c’est donc avec crainte et espoir qu’elle part la retrouver.

    Peu attirée par les enfants, Amber est sûre qu’elle va détester son travail là-bas ; elle a, de plus, des a priori envers les jeunes Américains. (Jusqu’à sa rencontre avec Kyle). Elle se réjouit aussi de fuir sa belle-mère et son demi-frère quelques semaines mais très vite se prend la tête avec Kevin, son beau-père, encore plus agaçant. Et sa mère la déçoit car ses réactions ne sont jamais celles qu’elle attend.

     

    Pendant une bonne partie de l’histoire, on a donc droit à une Amber geignarde, qui se plaint de tout, n’est jamais contente et pense qu’elle est la plus malheureuse du monde. Elle a le droit de le penser, ses parents sont divorcés, elle ne trouve pas sa place dans la famille recomposée de son père et n’a plus vu sa mère depuis deux ans et en garde de douloureux souvenirs d’enfance. Il y avait là de quoi développer une très bonne histoire et de profondes réflexions. Mais l’auteure nous distrait avec une amourette qui prend vite le dessus sur le reste. C’est dommage.

    Bien que les réparties entre copines soient parfois savoureuses, le reste du récit m’a paru lourd. Les échanges entre Amber et Kyle sont fades, les descriptions des lieux que découvre l’héroïne plates… Rien dans l’écriture n’a suscité mon enthousiasme. De plus, l’histoire est convenue, sans réelle surprise, et quelques fois irréaliste, comme la liberté laissée à une ado de 16 ans, dans un pays qu’elle ne connait pas !

    Ce livre parle de thèmes qui auraient mérité d’être mieux traités, que ce soit le mal être à l’adolescence, les relations familiales, l’alcoolisme, les idées féministes des filles… mais tous les propos prêtés aux personnages de l’histoire m’ont paru assez clichés et peu personnalisés. Ainsi les réflexions d’Amber au sujet de l’alcoolisme sont des idées d’adulte mises dans la bouche d’une adolescente. Cela sonnait faux.

     

    Bref, j’ai trouvé cette histoire assez prévisible dans son ensemble. Et le côté romance, qui prend le dessus, malgré d’autres thèmes forts qui auraient pu être développés davantage, ne m’a pas intéressée. Quant à la situation finale, elle m’a carrément achevée En six pages, l’auteure règle les souffrances d’Amber et les problèmes relatés en 430 pages. Waouw !

    J’ai lu beaucoup de critiques dithyrambiques à propos de ce volume émanant de très jeunes lectrices. Peut-être aurais-je apprécié ce roman si j’avais été adolescente. Ce n’est pas le cas. Mais je ne le donnerais certainement pas à lire à mes élèves.

     

     

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  • A la tombée du ciel, Sophie CAMERONCela aurait pu être une météorite annonçant la fin du monde. Mais ce sont des anges qui ont commencé à tomber du ciel. Face à ce phénomène, chacun réagit à sa manière. Pour Jaya, 16 ans, difficile de ne pas y voir un signe : sa mère est morte quelques jours plus tôt. Entre ce deuil et un père obsédé par l'idée d'attraper un ange, elle n’arrive pas à faire la paix avec elle-même. Lorsqu'un ange croise sa route, elle va devoir se reconstruire et réapprendre à faire confiance.

     

    Mon avis :

     

    Bien que le résumé ne m’ait pas emballée en raison de son côté « fantastico-merveilleux », j’ai donné une chance à ce roman reçu des éditions Nathan.

    Michaël, le père de Jaya et Rani n’a de cesse de trouver et comprendre ce que sont ces mystérieuses Créatures qui tombent du ciel à espace irrégulier et n’importe où dans le monde. Bien qu’elles aient une apparence humaine, le sont-elles ? Rani, la plus jeune le suit dans son idée fixe, Jaya ne s’y intéresse pas du tout, trouvant même cela très macabre.

    Ainsi commence l’histoire alors que la famille Mackenzie est en voiture vers Edimbourg, où le père a loué un appartement miteux pour être plus prêt de ce qu’il pense être le prochain lieu de chute. On se dit alors que l’on va en apprendre davantage sur ces chutes d’anges à travers le roman.

    En fait, on suit Jaya, héroïne principale, qui se remet mal du décès de sa maman et de ses conséquences. Alors que son père et sa sœur ont profité des premières apparitions d’anges pour se focaliser sur un objectif qui leur fasse oublier leur peine, Jaya n’y parvient pas.

    On comprend rapidement que ces chutes d’anges sont un prétexte à l’évolution du personnage de Jaya. Peu à peu, elle va prendre des distances avec sa famille, choquée que ces Créatures ne soient pas respectées (allégorie des émigrés ?). Quand une de ces Créatures apparait près d’elle, elle va choisir de la cacher et de la soigner. Elle se fera ainsi de nouveaux amis, prêts à l’aider dans sa démarche.

    Ce roman complexe m’a déroutée tant par le fait qu’on ne sache jamais qui sont ces Anges et pourquoi ils arrivent ainsi sur la Terre que par les (trop) nombreux thèmes abordés par l’auteure : deuil, résilience, spécisme, concept de genre, homosexualité, handicap… C’est trop pour un roman et rien n’est donc exploité à fond, tout reste à la surface.

    Peut-être ce roman trouvera-t-il son public auprès des amateurs de fantasy et de Young Adult. Pour ma part, ce ne fut pas le cas et je ne lirai pas les prochains tomes, quitte à ne jamais savoir qui sont ces fameuses Créatures.

     

     

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