• Comment (bien) gérer sa love story, Anne PercinC'est la rentrée pour Maxime après des vacances mouvementées qui se sont tout de même soldées par une rencontre et l'amour en la personne de Natacha. Mais Maxime va vite comprendre qu'entre les cours, les parents, le Bac et la guitare, l'amour n'est pas aussi facile que ça en à l'air, surtout quand on a une copine un peu (ou plutôt beaucoup) jalouse et possessive...

    Mon avis : 

    Je retrouve ici Anne Percin, un auteur que j’apprécie beaucoup et Maxime, le héros de « Comment (bien) rater ses vacances ».
    Après ses premières aventures estivales, durant lesquelles il a fait la connaissance de Natacha, nous suivons Max au fil de l’année scolaire, de ses premiers rendez-vous, de sa relation toute neuve, forte et chaotique à la fois avec une étudiante de la Sorbonne. Il n’a rien perdu de sa verve et de ses réparties pleines d’humour pour nous conter sa vie en terminale, sa love story, les jalousies entre Alex et Natacha et les plans (pas toujours foireux) de Kevin. En parallèle, il apprend à jouer de la guitare et donne des leçons particulières à un jeune autiste. Une vie bien remplie dans laquelle les scènes cocasses ne manquent pas.

    Heurs et bonheurs s’enchainent en alternance sur un ton grave ou léger, nous rappelant que l’adolescence n’est vraiment pas un long fleuve tranquille.

    On savoure l’humour et l’écriture d’Anne Percin, ses notes en bas de pages (à ne surtout pas manquer) et les références musicales qui parsèment le livre (sa marque de fabrique). Une suite à la hauteur du premier tome qui plaira sans nul doute aux adolescents.

     

     

     

     

     

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  • La fée des glaces, maxence FERMINEEn imaginant ses vacances au ski, Malo était loin de se douter que dès le premier jour il serait pris dans une étrange tempête de neige… Lorsqu’il recouvre ses esprits, l’adolescent tombe nez à nez avec une belle et mystérieuse jeune fille, qui vit dans un château de gel. Son nom ? La Fée des Glaces. Sa mission ? Accueillir les voyageurs égarés au Royaume des Ombres de l’hiver.
    Malo retrouve donc pour la troisième fois ce Royaume des Ombres qu’il chérit tout autant qu’il le craint. Et si cette aventure n’était pas le fruit du hasard mais l’occasion pour lui de répondre aux questions qu’il se pose ?
     

    Mon avis :

    Après « La petite marchande de rêves » et « La poupée de porcelaine », voici le dernier tome de la trilogie mettant en scène Malo, un jeune garçon de treize ans.
    Comme dans les tomes précédents, Malo rejoint, par accident, le Royaume des Ombres -de l’hiver cette fois- et nous plonge à nouveau dans un univers onirique où cohabitent fées, monstres, arbres vivants, fleur étrange et drôles d’animaux. Ce Royaume n’est accessible qu’aux enfants et aux rêveurs capables de croire en la magie et à l’espoir.
     
    Je poursuis ma découverte de Maxence Fermine avec ce conte moderne dans lequel les codes du genre sont respectés (on y retrouve fées, reine, magicien, végétaux qui dansent et animaux qui parlent). Et bien sûr, les gentils gagnent à la fin. Son écriture légère comme des flocons de givre fait jaillir des images féériques à chaque page et plongera facilement les enfants dans son monde imaginaire.
    Ici aussi, Malo aura une quête à réaliser afin de briser le sortilège qui le retient au Royaume des Ombres. Malo y apprendra à surmonter ses peurs et découvrira que les frontières entre le monde réel et le Royaume des Ombres sont plus minces qu'il n'y paraît. Il recevra également une leçon, se rendant compte qu'il vaut mieux ne pas juger les autres trop vite car les apparences sont parfois trompeuses. Belle morale n'est-ce pas ?

    Comme pour les tomes précédents j’ai apprécié la couverture et ses couleurs tendres ainsi que les illustrations de Louise Robinson qui parsèment le récit. J’ai par contre trouvé un peu lassant le langage particulier des habitants du Royaume des Ombres. Point trop n’en faut.

    Un conte poétique et merveilleux, qui devrait plaire malgré tout aux petits et aux grands ayant gardé une âme d’enfant.

    Merci à Livraddict et aux éditions Michel Lafon de m’avoir fait parvenir ce livre.


     

     

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  •  Ever dark, Véronica ROSSIAria et Perry se retrouvent enfin, mais leur bonheur est de courte durée. Les tempêtes d’Ether se déchainent, plus meurtrières que jamais. Il ne resterait qu’un seul endroit vivable sur Terre, le Calme Bleu. Existe-t-il vraiment ? C’est ce qu’Aria et Perry doivent découvrir : Perry pour sauver sa tribu, Aria parce qu’elle est sous la menace d’un horrible chantage. Mais pourront-ils mener cette quête ensemble ?
    Une Sédentaire et un Sauvage ne sont pas censés se venir en aide, et encore moins s’aimer…

    Mon avis :

    J’ai reçu ce roman des éditions Nathan, que je remercie, afin d’en donner un avis. Le hic, c’est que je n’ai pas lu le premier tome. Un résumé de quelques pages débute le second mais j’avoue qu’il est difficile d’appréhender toutes les subtilités de l’histoire avec ces seules pages.

    Nous sommes dans un monde futuriste en plein décomposition ou l’humanité se bat pour survivre. Les uns ont recréé un habitat où ils vivent plus ou moins bien, les autres doivent vivre en milieu hostile. Aria et Perry, issu chacun d’une « tribu » différente, verront leur amour mis à rude épreuve plusieurs fois, allant même jusqu’à cacher leurs sentiments. On est loin des couples de contes de fées. Ici, chacun a des responsabilités et doit accepter compromis et concessions.

    J’avoue avoir eu énormément de mal à entrer dans cette histoire. D’abord parce que je prenais en quelque sorte le train en marche, ensuite parce que les personnages sont nombreux, leurs dons et origines très divers et les rebondissements incessants. C’est sûr, ce récit ne manque pas d’action !
    Mêlant fantasy et science-fiction, ceci est aussi un roman d’aventures. Il mêle habilement les codes de chaque genre et n’est pas mal ficelé. Il devrait plaire aux adolescents friands de cette littérature. Hélas, j’ai beau tenté d’y prendre goût, ou du moins intérêt, je n’y parviens pas. Je ne pense donc pas renouveler sans fin cette expérience.

      

     

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  • Le pays des contes : Le sortilège perdu, Chris COLFERIl était une fois, dans une ville parfaitement ordinaire, des jumeaux prénommés Alex et Conner.… Le jour où leur grand-mère leur offre un livre ancien, Le Pays des contes, leur vie plutôt morose change du tout au tout. Et pour cause ! Ce grimoire se révèle magique et les transporte dans un univers où les contes sont devenus réalité. Sauf que ce monde est beaucoup moins merveilleux que celui des belles histoires quils ont lues. Boucle dOr est une criminelle recherchée, Blanche Neige dissimule un lourd secret, et le Petit Chaperon Rouge na même plus peur du loup. Pour rentrer chez eux, Alex et Conner nont quun seul moyen : rassembler huit objets magiques comme la pantoufle de Cendrillon ou encore des cheveux de Raiponce, tout en tentant déviter les foudres de la Méchante Reine. Car cette dernière semble avoir un plan machiavélique qui pourrait bien piéger les jumeaux dans cette étrange contrée. À tout jamais !

    Mon avis :

    Ecrire un conte en revisitant les classiques n’est pas une idée neuve. Beaucoup s’y sont essayés avec plus ou moins de bonheur. Mais j’avoue avoir été prise au jeu. L’écriture de Chris Colfer est enlevée et mêle habillement le langage féérique et celui des enfants d’aujourd’hui. Rien n’est vulgaire, aucun trait n’est exagéré et c’est plaisant à lire.

    L’originalité vient de l’évolution donnée aux personnages. Que leur est-il arrivé vraiment après « ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants » ? Sans trop en dévoiler, je peux dire que les princesses sont maintenant reines de leur royaume, avec des responsabilités de reine et d’épouse. Comme dans les contes classiques, les hommes tiennent peu de place dans ce conte moderne, hormis Jack peut-être. Les jumeaux, Alex et Conner, y déambulent comme s’ils étaient chez eux, avec beaucoup de naturel. Et pour cause… ce sont des férus de contes de fées. La personnalité de chacun et les antagonismes – normaux chez des frère et sœur – rendent leur aventure dynamique et agréable à suivre.

    Bien sûr, certains événements ne sont pas fortuits. Evidemment, les happy end sont nombreux. Mais ne sommes-nous pas dans un conte ? N’avons-nous pas accepté d’entrer dans un pays imaginaire au moment où nous avons commencé notre lecture ? Alors laissons agir la magie.
    J’avoue qu’elle a fonctionné pour moi et je pense que les enfants prendront également plaisir à lire ou à se faire lire ce récit. La tranche indique 1, d’autres tomes vont donc suivre. Je guetterai leur sortie.

    Un petit mot sur l’auteur pour ceux qui ne le connaissent pas. Acteur, récompensé par un Golden Globe pour son rôle dans Glee, Chris Colfer s’est mis à l’écriture il y a quelques années. Ce livre est son premier roman mais les hasards des traductions font que c’est le second publié en France. Le précédent Struck a connu un beau succès à sa sortie et a été adapté au cinéma cet été.
    L’illustration de couverture a été confiée à David Gilson, dessinateur travaillant régulièrement avec Disney (notamment sur le prochain film d’animation « La Reine des Neiges »). Doit-on voir là une possible adaptation cinématographique ? A suivre…

    Grand merci aux éditions Michel Lafon pour ce partenariat.

    Et aussi l'avis de Cali, de Galleane

     

     Le pays des contes : Le sortilège perdu, Chris COLFERLe pays des contes : Le sortilège perdu, Chris COLFER

     

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  • Saratoga Woods, Elizabeth GEORGELa jeune Hannah Armstrong possède un étrange pouvoir. Elle entend les pensées des autres, leurs « murmures » comme elle les qualifie. Un jour, elle comprend que son beau-père vient de commettre un meurtre. Pour la protéger, sa mère décide de l’envoyer sous une nouvelle identité sur l’île de Whidbey, au large de Seattle. Malheureusement, une fois sur place, rien ne se passe comme prévu pour celle qui se fait désormais appeler Becca King. La personne censée l’accueillir ne l’attend pas au débarcadère. Et ne s’y présentera jamais. Livrée à elle-même, Becca doit dorénavant se débrouiller seule, dans un endroit qu’elle ne connait pas et dont les habitants, comme elle ne tarde pas à le découvrir, semblent tous receler une part d’ombre…

    Mon avis :

    Après Senécal et Coben, Elisabeth George nous propose un « suspens jeunesse ».
    Il y a longtemps que je souhaite découvrir Elisabeth George. C’est donc avec enthousiasme que j’ai participé au concours de Miss Alfie croqueuse de livres, espérant gagner Saratoga Woods. Ce roman n’est pas un policier. Il oscille entre le fantastique, le suspens, l’aventure et plaira certainement aux jeunes adolescents.

    Le récit se découpe en quatre parties, la première mettant en place la situation initiale et la situation problème. L’île nous est sommairement décrite de même que les habitants. On les découvrira au fil de l’avancée du récit mais on perçoit déjà que les autochtones ont plus de choses à cacher qu’il n’y paraît. Aucun n’est tout à fait celui qu’il semble être.
    Il fallait ce roman, je pense, pour présenter l’environnement dans lequel va évoluer Becca durant les quatre tomes prévus. De ce fait, son histoire personnelle passe en arrière plan et on reste un peu sur sa faim. La quatrième de couverture laissait envisager du suspens, de l’angoisse, une fuite éperdue… on est loin du compte. Cependant, l’histoire n’est pas inintéressante et ouvre de nombreuses questions dont on a hâte de découvrir les réponses. On sent déjà que la route sera ardue avant que Becca ne retrouve sa mère et ne puisse tourner le dos à son passé.

    Les nombreux personnages qui côtoient Becca dans ce roman ont une personnalité bien particulière et des blessures plus ou moins douloureuses, cicatrisées ou non. Cela permet à Becca de relativiser ses propres problèmes. Finement décrits psychologiquement, ils ont des réactions et attitudes plausibles (bien que très conformistes) qui participent à l’intérêt du récit. On s’attache à chacun, souhaitant savoir comment ils évolueront tous dans la suite.
    En ce qui concerne le dénouement, je suis pourtant restée sur ma faim. Si la chute est plausible, si sa résolution est adroitement amenée, tout semble cependant se précipiter dans les quarante dernières pages, comme s’il fallait que certaines portes soient refermées avant d’entamer le tome deux. L’originalité aurait été de laisser plus de résolutions en suspens.

    J’ai malgré tout apprécié ma lecture, divertissante en ce début de congé, à l’écriture efficace et elle devrait intéresser aussi les jeunes auxquels elle est destinée. Amour, amitié, relations entre jeunes, secrets, adoption, vie insulaire… sont autant de thèmes qui devraient leur plaire.
    Un récit à lire dès douze ans.

    Merci aux Presses de la Cité de m'avoir fait parvenir ce roman.

     

     

     

     

     

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  • Alexandre le Grand, Jusqu'au bout du monde, Hélène MONTARDRE«J'irai plus loin ; beaucoup plus loin. J'irai là où jamais mon père ne serait allé, et mon nom résonnera jusqu'au bout du monde.»
    Alexandre est le fils de Philippe, le roi de Macédoine, qui le forme depuis son plus jeune âge à devenir un grand souverain. Alexandre a d'ailleurs déjà accompli quelques exploits, parmi lesquels dompter le cheval Bucéphale, qui l'accompagnera plus tard dans ses conquêtes...
    Mais Philippe est assassiné. A 20 ans. Alexandre monte sur le trône de Macédoine. Son ambition est grande, et il veut poursuivre le rêve de son père : porter le rayonnement de la Macédoine au plus haut, au plus loin. Ce qu'il découvre par-delà les contrées et les frontières va l'émerveiller...

    Mon avis :

    J’ai pris plaisir à replonger dans une l’histoire antique, souvenir de mes humanités classiques.
    De l’enfance à l’âge adulte, nous suivons cet homme à l’intelligence exceptionnelle, élève d’Aristote. L’auteur, en recoupant des documents historiques variés, nous présente Alexandre, sûr de lui et de sa puissance, à la fois réfléchi et impulsif. Le récit à la première personne nous plonge dans ses pensées.La vie de roi le confronte à des choix, des dilemmes, des compromis et il est intéressant de suivre le cheminement de ses réflexions. En cela, l’auteur a pris quelque liberté mais cela n’altère pas la justesse historique du récit.

    Le ton est solennel, le langage soutenu ; on visualise aisément les scènes grâce à leur description presque cinématographique. Cela plaira certainement aux enfants de 9-10 pour lesquels ce roman a été écrit.

    On peut cependant regretter la brièveté de l’évocation : deux ou trois pages pour chaque fait raconté, c’est un peu court.

    Comme souvent aux éditions Nathan, cet ouvrage sert d’amorce, d’apéritif. A chacun de poursuivre ou non sa découverte du personnage et des faits à travers des récits historiques.

     

     

     

     

     

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  • Le dernier ami de Jaurès, Tania SOLLOGOUBRue de la Tour à Paris, une fenêtre éclairée sous les toits. Derrière cette fenêtre, un homme écrit un éditorial pour le journal L’humanité. Il espère de toutes ses forces qu’une grève générale, internationale, pourra empêcher la guerre. Il s’appelle Jean Jaurès, il est en danger de mort. Près de lui, le peuple de Paris a juré de le protéger. Ils s’appellent Suzanne, Lucien, Mallavec, Paul.
    En cette fin du mois de juillet 1914, Paul a quinze ans, il ne croit pas encore à la guerre. Il est tombé fou amoureux de Madeleine, une jeune fille de la bourgeoisie, à qui il n’a pas le droit d’adresser la parole.
    Ce soir-là, rue de la Tour, en gravissant les marches qui mènent à la chambre de Jaurès, il ignore que cet homme va non seulement lui accorder sa confiance, devenir le confident de son secret, mais aussi, lui donner la force de changer son destin.

    Mon avis :

    Tania Sollogoub est économiste, enseignante et maitre de conférences à l’IEP de Paris. Elle est aussi écrivain pour la jeunesse dans le but de « changer le monde et prendre ses rêves au sérieux ».

    Son roman nous conte la genèse de la Première Guerre mondiale, en six parties, évoquant des rues ou immeubles de Paris. Du 28 juin au 31 juillet 1914, de l’assassinat de l’archiduc d’Autriche, François-Ferdinand, à celui de Jean Jaurès, nous découvrons les temps forts à l’origine de ce sanglant conflit.
    Chaque partie débute par quelques pages en italique racontant les grands événements historiques qui ont marqué ces quelques semaines. Ensuite, l’auteure nous entraine dans Paris où nous suivons Jean Jaurès et des gens du peuple qui l’ont côtoyé, vivant au rythme de l’actualité, d’espoir de changement en crainte pour l’avenir. Les ouvriers espèrent en des jours meilleurs, en une union des travailleurs voire une grève générale qui s’étendrait au-delà des frontières et empêcherait par-là même la guerre dont certains parlent du bout des lèvres. Car il faut que les choses changent : la richesse des uns est trop grande par rapport à la misère des autres. L’exploitation de l’homme par l’homme ne peut continuer. Que ce soit en France ou en Russie ou ailleurs, le peuple menace. Les prolétaires européens parlent de Révolution.

    C’est dans ce contexte que Paul, quinze ans, tombe amoureux. Un amour impossible. C’est aussi le moment où, grâce à son beau-père, il fait la connaissance de Jaurès. En quelques semaines, sa vie et celle de l’Europe va basculer.

    Alliant récit historique clair, rigoureux mais abordable pour les plus jeunes et récit de vie narrant les premiers émois de Paul, l’amour que partagent Suzanne et Lucien, les espoirs de Mallavec et de Catherine, ce roman destiné aux 12–16 ans est remarquable. En mêlant réalité et fiction, Tania Sollogoub rend compte avec justesse du bouillonnement de cette période. Bouillonnement d’idées, de vie, d’espoirs qui prendront malheureusement fin tragiquement. Dans une langue riche, elle réussit à nous faire vivre au rythme du Paris de l’époque, mettant l’Histoire à portée des plus jeunes.
    En cette veille du centenaire de la Première Guerre mondiale, ce roman magnifique vaut la peine d’être proposé aux adolescents afin qu’il découvre une époque rarement écrite pour eux.

     

    Le dernier ami de Jaurès, Tania SOLLOGOUB

     

     

     

     

     

     

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