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5150, rue des Ormes
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Le Passager
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Contre Dieu
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Malphas, le cas des casiers carnassiers
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Sur le seuil
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Préférez-vous les icebergs ?
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Le collectionneur
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Soins intensifs
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Indésirables
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Sans pardon
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Cadavres
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Silence radio
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L'enfant témoin
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Les villages assoupis
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Saccages
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Sous la surface
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Violence à l’origine
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Repentir(s)
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Les villages assoupis, L'ile des naufrages
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Les villages assoupis, Escalana
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Faims
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Un jeu dangereux
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S.A.S.H.A
http://argali.eklablog.fr/s-a-s-h-a-martin-michaud-a119391412Il ne faut pas parler dans l’ascenseur
http://argali.eklablog.fr/il-ne-faut-pas-parler-dans-l-ascenseur-martin-michaud-a117700284
La chorale du diable
http://argali.eklablog.fr/la-chorale-du-diable-martin-michaud-a118116452
La misère des laissés pour compte
http://argali.eklablog.fr/la-misere-des-laisses-pour-compte-maxime-houte-a125219238Quand j’étais Théodore Seaborn
http://argali.eklablog.fr/quand-j-etais-theodore-seaborn-martin-michaud-a125615986Le blues des sacrifiés
http://argali.eklablog.fr/le-blues-des-sacrifies-richard-ste-marie-a125710798
Bondrée
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Les cahiers noirs de l'aliéniste, Dans le quartier des agités
http://argali.eklablog.fr/les-cahiers-noirs-de-l-alieniste-tome-1-dans-le-quartier-des-agites-ja-a127600004Les cendres de Sedna
http://argali.eklablog.fr/les-cendres-de-sedna-ariane-gelinas-a132606564
La disparition de Michel O'Toole
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Crimes à la librairie
http://argali.eklablog.fr/crimes-a-la-librairie-collectif-a132771278Dans le quartier des agités, Jacques Côté
Le sang des prairies, Jacques Côté
Où le soleil s'éteint, Jacques Côté
Un ménage rouge, Richard Ste Marie
Rivière tremblante, Andrée A. Michaud
Sans Terre, Marie-Eve SevignyCes femmes aux yeux cernés, André Jacques
La petite fille qui aimait trop les allumettes, Gaétan Soucy
De ton fils charmant et clarinettiste, Richard Ste Marie
Cinq secondes, Jacques SavoieUne mort honorable, Jacques Savoie
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Le journal d’Aurélie Laflamme
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Dear George Clooney
Madame Wenham
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Sept comme Setteur
http://argali.eklablog.fr/accueil-c381362#!/sept-comme-setteur-patrick-senecal-a2439029
Un hiver de tourmente
http://argali.eklablog.fr/un-hiver-de-tourmente-dominique-demers-a48481672Les grands sapins ne meurent pas
http://argali.eklablog.fr/les-grands-sapins-ne-meurent-pas-dominique-demers-a48580540Ils dansent dans la tempête
http://argali.eklablog.fr/ils-dansent-dans-la-tempete-dominique-demers-a48595566Un été d’amour et de cendres
http://argali.eklablog.fr/un-ete-d-amour-et-de-cendres-aline-apostolska-a62705643Le coup de la girafe
http://argali.eklablog.fr/le-coup-de-la-girafe-camille-bouchard-a63673345L’histoire de Pi
http://argali.eklablog.fr/l-histoire-de-pi-yann-martel-a63733139Qui est Terra Wilder ?
http://argali.eklablog.fr/romans-jeunesse-c381510#!/qui-est-terra-wilder-anne-robillard-a64011561Le cri
http://argali.eklablog.fr/le-cri-martine-latulippe-a112508896Eux,
http://argali.eklablog.fr/eux-patrick-isabelle-a117657816
Lèche vitrines
http://argali.eklablog.fr/leche-vitrines-sarah-maude-beauchesne-a125899792
Saint-Icitte du bout du monde
http://argali.eklablog.fr/saint-icitte-du-bout-du-monde-katrine-parent-a126111542Zazie, Ca va être correct
http://argali.eklablog.fr/zazie-ca-va-etre-correct-marie-renee-lavoie-a119417744
Pavel
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L'Elite, Résilience
http://argali.eklablog.fr/l-elite-resilience-joelle-charbonneau-a130663648L'Elite, Sous surveillance
http://argali.eklablog.fr/l-elite-sous-surveillance-joelle-charbonneau-a130717082
L'Elite, Dernière épreuve
http://argali.eklablog.fr/l-elite-derniere-epreuve-joelle-charbonneau-a130748538
Need
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Camille
http://argali.eklablog.fr/camille-patrick-isabelle-a127298102Nous
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Virginia Wolf
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Lui
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Bouée de sauvetage
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Hackers, Isabelle Roy
Hackers 2, Isabelle RoyLa curieuse histoire du chat moribond, Marie-Renée Lavoie
Anna Caritas, Patrick Isabelle
Sous la surface (BD) Michaud, Dominici, Gihef
Jimmy et le Big Foot, Pascal Girard
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Ce 31 mars, j’ai eu la chance de rencontrer Mikaël Ollivier lors d’une séance de dédicaces où on ne se bousculait pas à sa table. (D’ailleurs, les auteurs français attiraient bien moins que les américains. Pourquoi ???).
Personnellement, j’aime beaucoup Mikaël Ollivier. Je le connais surtout comme auteur pour la jeunesse ayant lu « Frères de sang », un policier, « Star crossed lovers », une histoire d’amour « La vie en gros » un roman sur l’obésité et « Celui qui n’aimait pas lire », un récit autobiographique.
C’est donc tout naturellement que je me suis approchée pour me procurer « Alibi » que je ne connaissais pas encore. Nous avons entamé la conversation, parlant de ses personnages, de sa manière d’écrire qui plait tant à mes élèves, eux qui lisent si peu, et de ses dernières parutions. J’ai ainsi appris qu’il terminait un nouveau roman pour adolescents, un policier, après avoir sorti en été « Le monde dans la main ».
Mais je ne savais pas, honte à moi, qu’il écrivait aussi pour les adultes. Je l’ai donc écouté me résumer l’histoire de « La promesse de feu », paru chez Albin Michel, dont les héros sont deux frères (tient donc) à la psychologie bien différente. L’intrigue commence chez les pompiers qui luttent contre des feux de forêts dans le Sud. Roman à suspens, il dit de lui que c’est sans doute « son roman le plus personnel, une sorte de thriller intimiste qui fait la synthèse de tout ce qu’il a cherché à écrire jusqu’ici, dans la catégorie polar ».
Guy Collard que j’ai croisé peu après, ayant encore le livre à la main, m’a d’ailleurs glissé en passant que c’était un bon, un grand polar.
Une rencontre simple et naturelle, comme je les aime. Un dialogue qui s'est installé facilement et un auteur vraiment attentif à ce qu'on lui dit. Une belle rencontre...
Photos de mon époux.
Aux côtés de Mikaël Ollivier, Lee Child.
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Dans le cadre du festival « Quais du polar » de Lyon, j’avais gagné un concours me permettant de rencontrer Philip Kerr, presqu’en tête à tête. (Nous étions 8). Plongée justement dans « La mort entre autres » et ayant encore bien à l’esprit « La trilogie berlinoise », j’avais en tête quelques questions que j’aurais aimé lui poser.
Hélas, après près de quatre heures de dédicaces, Philip Kerr est rentré à son hôtel, oubliant notre rendez-vous. - Vous imaginez bien ma déception et celles des autres heureux gagnants. – Embarrassée, son éditrice est venue nous rejoindre, s’excusant de cet imprévu, l’appelant sur son portable – lui-même étant très confus mais hors de Lyon – et se demandant comment réparer.
Ce fut vite trouver. Nous étions huit passionnés des aventures de Bernhard Gunther, le libraire de la librairie « Passages », qui devait animer le débat, et l’éditrice de Philip Kerr. Nous avons donc entamé la conversation comme nous l’aurions fait en la présence de l’auteur.
Et bien ce fut une très heureuse rencontre, riche en confrontation d’idées et en informations. Ainsi, j’ai appris que Philip Kerr vivant à Londres avait d’abord écrit des romans mettant en scène de jeunes londoniens de la City, sans rencontrer le moindre intérêt chez les éditeurs. Avocat de formation, il avait, pendant ses études, choisi un cours de littérature allemande qui le passionnait. Lors d’un voyage à Berlin dans les années 80, il s’est dit qu’il pourrait allier sa passion passée et l’écriture pour raconter l’Histoire et comprendre comment était née l’horreur. Comme les Allemands de l’époque ne semblaient pas enclins à parler de ça, il a entrepris ses propres recherches, en bibliothèques, dans les archives, et sur place pour s’imprégner des lieux. C’est seul qu’il rassemble la documentation qui lui servira de trame aux aventures de Gunther. Méticuleux, il veut tout diriger lui-même.
Au départ, il ne pensait pas écrire de policier, mais le personnage de Bernie s’est imposé peu à peu. Qui donc mieux qu’un détective peut mettre le nez partout et avoir accès aux documents les mieux gardés ? D’après son éditrice, Bernie c’est un peu lui. Il a mis beaucoup de sa personnalité dans ce héros atypique (si ce n’est que l’auteur est marié et père de famille nombreuse), drôle, cynique et déterminé. Sympathique et distant.
Paru au début des années 90, « L’été de cristal » (puis la suite de la trilogie) a connu un succès d’estime. La Glasnost puis la chute du mur de Berlin ne donnaient sans doute pas envie de se replonger dans un passé douloureux. Réédité en 2009, les trois tomes trouveront alors leur public, phénomène amplifié par Internet et les blogs littéraires qui encensent littéralement cette trilogie et en font un formidable succès de librairie.
Nous avons beaucoup parlé de Berlin aussi, cette ville honnie par les nazis qui lui préféraient Munich, et des Berlinois. Certains d’entre nous connaissant très bien cette ville pour y avoir vécu. D’autres romans d’autres auteurs ont été cités pour ceux qui souhaitaient la voir à nouveau mise en scène. J’ai noté au vol : Seul dans Berlin de Fallada, L’histoire de l’Histoire de Ida Hattemer-Higgins, Berlin Café de Nebenzal, Mon enfant de Berlin de A.Waziemski, Les démons de Berlin et Deux dans Berlin, dont je n’ai pas eu le temps de noter les auteurs. J’ajouterai aussi Jonathan Rabb.
Finalement, la déception première s’est estompée et nous avons tous passé un très bon moment. Près de ¾ d’heure a discuté de littérature, quoi de plus plaisant ?
Quant aux photos qui illustrent l’article, elles ont été prises lors de ma rencontre-dédicace avec l’auteur, le matin même. Hélas, le monde et l’absence de l’interprète ne m’ont pas permis de discuter fort longtemps.
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1949. Bernie Gunther vit une passe difficile. Sa femme se meurt et il craint que le matricule SS dont il garde la trace sous le bras ne lui joue de sales tours. Une cliente affriolante lui demande de retrouver la trace de son époux nazi, et le voici embarqué dans une aventure qui le dépasse. En dépit de son cynisme, Gunther est une proie facile pour les femmes fatales.
Mon avis :
Epoustouflant. C’est le premier mot qui me vient à l’esprit pour caractériser l’intrigue de ce roman. J’avais déjà beaucoup aimé « La trilogie berlinoise » mais j’ai envie de dire que ce 4e tome est encore un cran au-dessus.
On retrouve l’atypique détective Bernie Gunther aux prises avec les démons du passé. Les siens d’abord, les ex-nazis en fuite ensuite. Plus l’histoire avance, plus l’intrigue s’épaissit pour ne vraiment s’éclaircir, c’est paradoxal, que lors d’une nuit de brouillard intense, à la toute fin du récit.
Tout au long des cinq cents pages de ce roman, l’atmosphère est oppressante tant les cruautés qui sont évoquées sont ahurissantes. J’ai beau bien connaitre la Seconde Guerre mondiale et les exactions commises pendant ces années noires, je ne peux m’habituer à lire à quel point l’homme peut se montrer bestial et cruel. Cependant, et c’est un des génies de Kerr, rien n’est jamais décrit en détails. Les actes ne sont que suggérés, effleurés mais les mots choisis font mouche à chaque fois malgré tout.
Ici, nous plongeons dans le passé de deux camps. Celui de Dachau d’abord, près duquel Gunther a hérité bien malgré lui d’un hôtel qui périclite. Celui de Janowska ensuite où s’illustrèrent les odieux bouchers Friedrich Warzok et Eric Gruen. Là où fut aussi incarcéré Simon Wiesenthal.
Ce camp où la barbarie régnait en maître était connu pour être dirigé par des bourreaux impitoyables ayant chacun leur manière favorite d’exécution : qui la hache, qui le fusil, qui le couteau ou les expériences « médicales ». Deux cents mille personnes y furent mises à mort. Les scènes de tir dans « La liste de Schindler » - où le dirigeant du camp se défoule chaque matin en assassinant quelques prisonniers au hasard, qui ont juste le malheur d’être dans son champ de vision - ne sont rien à côté des sévices et atrocités perpétrés là-bas.
C’est dans ce monde pernicieux et hypocrite, celui des anciens nazis cherchant à échapper à la justice pour crimes de guerre, qu’évolue Gunther. Bien qu’expérimenté, il fait montre dans cette histoire de légèreté et de naïveté, sans doute un temps amoindri par les événements de sa propre vie. Il sera balloté au gré des turpitudes de certains jusqu’à ce que le vrai détective, clairvoyant et déterminé, ne refasse surface pour nous offrir un festival de réactions à la hauteur de sa réputation.
La fidélité de l’auteur à l’Histoire est une fois de plus stupéfiante. Documenté d’une manière précise, Philip Kerr ne laisse rien au hasard dans cette intrigue. Tout y est rigoureusement exacte (même les articles de Life de juin 45) au point que l’on ne sait plus où finit l’Histoire et où commence la fiction. Son travail est remarquable et ciselé avec art. Ce roman (comme les autres d’ailleurs) n’est pas seulement un très bon policier. Il est aussi un excellent récit historique. Récits que chacun devrait lire pour ne pas oublier.
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Le festival Quais du Polar a fermé ses portes et je suis rentrée chez moi, dans le nord.
Il me reste des images plein la tête, de sourires, de mains faisant glisser la plume sur le papier, de dialogues passionnants (merci Mikaël Ollivier et Nicolas Grumel), d’échanges malaisés (il faut que je révise mon anglais) ou de conférences intéressantes. Et puis surtout, il me reste des livres dont presque tous sont dédicacés. De belles heures de lecture en perspectives.
Je vais laisser décanter tout cela avant de rédiger un billet concernant mes rencontres.
Je ne peux que vous encourager à découvrir cette manifestation si vous ne la connaissez pas encore. D’abord, en raison de la qualité de l’organisation et des invités présents ; ensuite pour la diversité des animations proposées autour du livre dans et hors de la ville ; enfin pour la simplicité et la gentillesse de tous ceux qui travaillent pour que ces rencontres soient réussies. Malgré la notoriété des écrivains reçus (plus de soixante), l’ambiance y est, je dirais, familiale et sans chichis. J’ai vu des écrivains signant des dédicaces trois heures durant et garder le sourire jusqu’au dernier lecteur ; d’autres allant à la rencontre des libraires et des lecteurs dans les allées, lorsqu’ils n’étaient pas de service ; d’autres encore assister aux conférences des confrères…
Le monde du polar serait-il plus accessible que celui de la littérature en général ? Les auteurs se prendraient-ils moins au sérieux ? Je le penserais volontiers après ces deux jours passés dans leur sillage.
Maintenant que je sais comment cela fonctionne, la prochaine fois, je réserverai très tôt car je n'ai pu participer aux manifestations hors salon, comme la visite de la police scientifique ou l'enquête au musée Gadagne, car elles étaient complètes. Mais c'est sûr, j'y retournerai.
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